Maladie de Parkinson : Méthodes de traitement innovatrices – Review


Cette revue de la littérature propose une vision innovatrice des moyens et méthodes de traitement du Parkinson. La L-Dopa était le traitement le plus efficace mais qui comportait plusieurs anomalies et notamment son manque de biodisponibilité ainsi que d’autres anomalies. Afin de contourner ces anomalies et également d’éviter les effets indésirables de la L-Dopa sur le long terme, d’autres méthodes innovatrices invasives et non invasives ont été proposées. Parmi ces méthodes, les précurseurs de la L-Dopa. Mais il existe d’autres méthodes qui utilisent des voies différentes de la voie orale ainsi que d’autres systèmes oraux également comme les liposomes, les nanoparticules et les particules biocompatibles.

Résumé :

INTRODUCTION:
La maladie de Parkinson (PD) reste le seul trouble neurodégénératif pour lequel il existe des traitements symptomatiques très efficaces, mais ces besoins sont encore non satisfaits en ce qui concerne sa gestion à long terme. La Lévodopa (LD) reste le traitement le plus efficace; cependant, l’utilisation sur le long terme est associée à des complications potentiellement invalidantes sur le plan moteur.
DOMAINES COUVERTS:
Cet avis met en évidence une variété de nouvelles stratégies d’ingestion des médicaments non-oraux pour les voies non-invasives et invasives d’administration du médicament pour le traitement de la maladie de Parkinson. Il comprend également les tendances actuelles et futures des liposomes, des nanoparticules lipidiques solides et des microparticules biocompatibles ainsi que de nouveaux systèmes de délivrance de médicaments non-oraux.
OPINION D’EXPERT:
Les complications et les limites du traitement par la Lévodopa à long terme pourraient être améliorées en modifiant le traitement de la stimulation pulsatile présente par une stimulation plus constante des récepteurs centraux de la dopamine. La stimulation de ces récepteurs peut être possible avec un nouveau système de délivrance de médicaments non-oraux, dans le but d’atteindre moins de niveaux fluctuants de dopamine, et de minimiser les pics et donc la réduction des effets secondaires de longue durée.

 

Lire la review :

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21314492

 

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