Mythe du cholestérol ou la prostitution de la science moderne

C’est très drôle la réponse de certains médecins ou pharmaciens à propos du danger des statines: « quelles sont vos preuves? ».
Ce raisonnement est défectueux au second degré.Premièrement, cette question n’est jamais posée aux soldats de l’industrie du médicament à savoir les prostitués médicaux (euh.. Je veux dire délégués). Deuxièmement, c’est qu’il existe tellement de papiers scientifiques (des centaines) sur les dangers des statines que j’en avais marre de les feuilleter car ils disent tous à peu près la même chose: risque de diabète, maladies neurodégénérative dont l’Alzheimer, amnésie, troubles cognitifs, hausse du taux de mortalité…etc. Bref, un bon paquet de cochonneries.

Dans un délire de transformation du mode alimentaire omnivore en végétal, on a utilisé le cholestérol, constituant primordial des membranes et du tissu nerveux, comme bouc émissaire afin d’abattre les aliments d’origine animale. J’ai récemment fait le lien, dans l’un de mes articles, entre l’industrie et le végétalisme et l’histoire du cholestérol en est une preuve concrète. Les industriels agroalimentaires voulant se débarrasser des aliments d’origine animale trop coûteux et peu rentables ont fabriqué de toutes pièces le mythe du cholestérol afin de lancer les groupes végétaliens de contestation réactionnaire. On a remplacé le beurre par la margarine, la viande par le tofu et le soja, le lait par le « lait » (jus?) d’amande…etc.
La mise à mort des aliments d’origine animale, d’une part par la théorie du cholestérol et d’une autre part par les conditions d’élevage épouvantables et l’alimentation cancérigène donnée aux animaux d’élevage, vise principalement à développer des dividendes plus juteuses pour les gros investisseurs, patrons de l’industrie.
Les industriels de l’agroalimentaires financés par les gros investisseurs qui investissent également dans le médicament (et dans d’autres secteurs) sont les initiateurs des différentes tendances de la sphère végétalienne.

Les gros investisseurs, quant à eux, misent des deux côtés de la balance, d’une part, on vend plus de produits végétaux transformés OGM et pesticides à l’appui, qui sont plus simples à produire et moins coûteux que les produits animaux et d’une autre part on mise sur les médicaments qui vont soigner les problèmes que vont provoquer ces changements dans le mode alimentaire. C’est la même histoire qu’on a pu voir dans les années 2000 où les banques américaines (J P Morgan) vendaient des packages de prêts bancaires toxiques réévalués comme étant de très bonne qualité afin de se faire de l’argent sur la vente de ces prêts et en même temps ces mêmes banques misaient à la baisse sur le marché bousier car ils savaient que, leurs prêts étant toxiques, vont faire baisser le marché.
Tout ça pour vous dire que ce genre de manipulation n’est pas propre à l’industrie agroalimentaire ou pharmaceutique mais c’est l’histoire du capital qui est remplie de ce genre de pratiques.

Je vous ai parlé dans l’un de mes articles de l’organisation actuelle du système de la recherche scientifique, où les financiers sont en haut de la pyramide avec les éditeurs et les laboratoires de recherche. Et bien c’est exactement de cela qu’il s’agit dans l’histoire du cholestérol. Malgré les preuves cliniques et scientifiques, le dogme du cholestérol s’est imposé, et c’est très logique car celui qui finance est celui qui détermine les règles du jeu.
Personne ne viendra embêter un scientifique pour lui dire qu’il doit trouver tel ou tel résultat. C’est le scientifique lui-même qui presque inconsciemment s’autocensure, s’adapte et adapte son protocole, sa méthodologie et son raisonnement dans l’optique de trouver un résultat qui conviendra à son financier car à défaut de résultats concluants (du point de vue du financier), il sait qu’il ne touchera pas un sous l’année prochaine et qu’il sera tout simplement au chaumage.

La finance a totalement bouffé la science qui n’a gardé que son nom. Les chercheurs qui n’étaient pas d’accord, étaient réduits au silence comme de vulgaires prostituées.
Quelle honte, et quelle mesquinerie scientifique.

On a pu à travers les médias de masse, les éditeurs (dont certains comités de lecture sont corrompus), des labos, sièges de prostitution scientifique, faire avaler au monde entier que c’est le cholestérol et non le sucre qui était responsable des maladies cardiovasculaires, que c’est le cholestérol qui est le marqueur de ces maladies et non l’homocystéine. Et en gros, on est passé de: « Le cholestérol est mauvais » à « c’est juste le LDL qui est mauvais, le HDL est bon » et ensuite à « le cholestérol est bon » mais entre temps, des centaines de millions de personnes ont crevé et des centaines de milliard de dividendes sont parties dans les poches des gros investisseurs qui investissent aussi bien dans les mines, le pétrole, le médicament, l’immobilier ou l’agroalimentaire.

CONCLUSION:

Les scientifiques sont contents aujourd’hui d’avoir réussit à faire jaillir la réalité, mais personne ne sait dans quel autre mensonge on baigne actuellement ? Ben oui, le capital a toujours un ou deux coups d’avance et le prix est toujours la mort des uns et le gain des autres.

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