Le risque génétique de développer l’obésité est motivé par des variantes qui affectent le cerveau


Nous savons déjà que le cerveau joue un rôle important dans l’obésité en régulant la façon dont le corps maintient ses besoins énergétiques.

Il le fait en traitant des signaux provenant de l’intérieur du corps concernant les réserves d’énergie et la prise alimentaire, ainsi que des signaux externes tels que la vue et l’odeur des aliments.
Les nouvelles découvertes suggèrent que le risque d’une personne de développer une obésité est motivé par des populations de cellules qui traitent les stimuli sensoriels et les actions directes liées à l’alimentation et au comportement. Ils ont également identifié des types de cellules cérébrales spécifiques qui soutiennent un rôle d’apprentissage et de mémoire dans l’obésité.
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