La sensibilité cérébrale à l’insuline est liée à l’adiposité et à la distribution de la graisse corporelle

Les résultats de cette étude sur neuf ans démontrent qu’une sensibilité élevée à l’insuline cérébrale est liée à une perte de poids lors d’une intervention sur le mode de vie et s’associe à une distribution favorable des graisses corporelles.
Étant donné que la graisse viscérale est fortement liée au diabète, au risque cardiovasculaire et au cancer, ces résultats ont des implications au-delà des maladies métaboliques et indiquent la nécessité de stratégies pour résoudre la résistance à l’insuline du cerveau.
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