Association entre la maladie parodontale et les taux plasmatiques de cholestérol et de triglycérides

La maladie parodontale non traitée semble causer une inflammation systémique de bas grade et une altération des lipides sanguins entraînant un risque accru de maladie cardiovasculaire.
La pathogénie de la maladie parodontale destructive et de la maladie athéromateuse peut donc être liée à des cascades inflammatoires communes. Parmi les médiateurs inflammatoires associés au risque d’événements cardiovasculaires, on trouve l’amyloïde sérique A, le sICAM-1, l’IL-6, l’homocystéine, le cholestérol total, le cholestérol LDL et la protéine C-réactive, ces marqueurs augmentent chez les patients atteints de parodontite induisant une pro-coagulation et des altérations du métabolisme lipidique, susceptibles d’augmenter les risques d’événements cardiovasculaires.
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